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Centre de Minéralogie et de Paléontologie de Belgique
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NOCARCENTRE après Restaumont, c'est fini !
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cliquez sur les photos pour les agrandir.
© Texte et Photos : MJX, sauf indication contraire.

A Edouard,
Ancien ouvrier-carrier à Restaumont,
Bâtisseur de cathédrale !

Introduction

Le 21 décembre 2004, les pompes d'exhaure de Nocarcentre se sont tues. Nocarcentre renonce à son dernier filon (Le Soir du 23/12/05).


Nocarcentre – vue aérienne 2002


Octobre 2004

L'eau s'est immédiatement mise à monter.

Les niveaux inférieurs sont déjà complètement noyés comme le montrent ces photos :

22/12/2004 (1 jour) (photo CGK)
02/01/2005 (12 jours)(photo CGK)
09/01/2005 (19 jours)(photo CGK)
15/01/2005 (25 jours)
22/01/2005 (32 jours)
05/02/2005 (46 jours)
27/02/2005 (68 jours)
24/03/2005 (après 93 jours d'arrêt des pompes d'exhaure)
08/05/2005
25/09/2005

( vues des coordonnées 50°33'21.9"N 4°08'16.9"E)

C'était un des problèmes les plus importants de cette carrière.

Peu avant notre première visite, le 20 octobre 2001, un tir de mine malheureux avait ouvert une source importante et jusqu'à la fin de l'exploitation, il a fallut pomper jusqu'à 1000 m3/h d'eau à l'égout.

Cette carrière a été creusée à l'emplacement de la carrière de Restaumont . Une des dernières carrières écaussinnoises de l'ancienne génération. Avec la carrière de Scoufflény, c'était en effet une des dernières carrières de pierre de taille de la commune. Ces dernières exploitaient la pierre bleue, un calcaire crinoïdique de l'étage Tournaisien, appelée couramment "petit granit". Cette pierre est encore exploitée de cette façon dans les carrières du Clypot à Neufvilles, et dans celles du Hainaut et de Gauthier-Wincqz à Soignies.

Nocarcentre, par contre, a exploité essentiellement les "raches", un calcaire de moins bonne qualité pour produire environ 700.000 t de concassés par an.

Un peu d'histoire

Ecaussinnes doit avant tout sa notoriété à la richesse de son sous-sol.

Les plus anciens documents qui nous parlent des carrières d'Ecaussinnes datent du XIVème siècle.

La plupart des maîtres de carrières, dans ces temps anciens, étaient des fermiers, parce que certains d'entre eux avaient découvert de la pierre dans leurs champs, et parce qu'ils disposaient de nombreux chevaux, nécessaires à l'exploitation.

Grâce à la vapeur, tout devint beaucoup plus facile, l'exhaure, l'extraction, le sciage, le levage. D'artisanales qu'elles étaient, ces entreprises devinrent industrielles. Suite à l'ouverture de la ligne de chemin de fer Manage - Braine-le-Comte, en 1842, des convois de pierres sur voie ferrée sillonnèrent les rues d'Ecaussinnes.
Après une période de grande prospérité de plus d'un siècle, vint le déclin.

Ces exploitations sont aujourd'hui abandonnées sans aucune exception, mais elles ont formé dans l'agglomération un relief artificiel de "trous" et de "tiennes", de gouffres ennoyés et de collines plus ou moins boisées.

A l'origine, au hameau de Restaumont, la zone de la carrière de Nocarcentre, ( coordonnées UTM : 31U 581129E 5601806N) était occupée par de petites exploitations privées, comme il y en avait partout dans le village.

Les carrières de Restaumont sont relativement récentes. Elles datent du XIXème siècle.


(extrait ref 5)

Le long du chemin de Mignault, s'ouvre la carrière Blondeau en 1837, du nom de son propriétaire. Elle fut cédée en partie à la SA des Carrières et Scieries de Restaumont en 1920.


Carrière Blondeau (1919)(photo CP)

Plus au sud, la carrière du Parc démarre en 1869, devient carrière J. Lenoir &Cie avant d'être rattachée à la SA des Carrières de Thiarmont.

Plus à l'Ouest, s'ouvre en 1854, la carrière Druart, qui deviendra la carrière Michaux & Blase, puis la carrière Riez en 1896, date à laquelle elle fut reliée à la gare d'Ecaussinnes-Carrières par un raccordement de chemin de fer qui passait dans la rue Pouplier (rue des Rivaux).


Rue Pouplier vers 1960 avec la voie de chemin de fer vers les carrières.(photo CPN)


Carrière Riez vers 1928 (photo CPN)


Pont du buffet dans la carrière Riez (1919) (photo CP)


Chantier Riez (photo CPH)

Elle deviendra la carrière principale de la SA des Carrières et Scieries de Restaumont (SACSR) en 1898.


vue aérienne.(photo IGM 1969)
On voit bien la carrière Riez (1) avec son pont roulant en arc de cercle et la carrière Blondeau (2).
La carrière Goffart est déjà sous eau (3) et la carrière du Parc recouverte d'une tienne (4).


Edouard entouré de 2 collègues au pied de la débiteuse (vers 1960). (photo EGY)


Le directeur M. Masuy (1 er rang, 4 ème à partir de la gauche) au milieu de ses ouvriers
à l'occasion de l'inauguration d'une débiteuse à disque diamanté de 3m de diamètre le 7/10/1966.(photo SACSR)


(photo SACSR)

Le plan incliné (photo SACSR)
Un nid d'aigle (photo SACSR)
Le pont roulant circulaire (photo SACSR)
Au bord du gouffre… (photo SACSR)
capable de lever 40 tonnes (photos SACSR)
Le "requin" entaille le banc (photo SACSR)*
Les ateliers des tailleurs de pierre (photo SACSR)

Le travail des tailleurs de pierre (photos SACSR)

* Note d'un lecteur : Le "requin" a été conçu par les Ateliers GA-Wallem d’Ecaussinnes. Son inventeur était Monsieur Georget-Auguste Wallem.
Cette machine a été vendue également aux Carrières du Hainaut à Neufvilles ainsi que dans une carrière de Zadar (ex-Yougoslavie) et à Donoratico (Italie).
Elle n’a pas eu le succès escompté car elle réduisait la main d’œuvre sur le site d’exploitation et son inventeur est décédé très jeune.

Après des fortunes diverses, une forte concurrence et l'épuisement du banc de "petit granit", les Carrières de Restaumont cessèrent leurs activités de sciage de pierre mi-novembre 1982, suite notamment à un éboulement.


un treuil vers 1970 (photo MJX).

Les terrains et le matériel furent vendus à une société de Charleroi qui commença, non sans difficultés, l'exploitation de graviers sous le nom de Nocarcentre. Trois ans plus tard, un groupe hollandais rachetait la société. Ce n'est qu'en 1987 que Nocarcentre commença réellement à produire des concassés pour béton et travaux routiers.

Cette société, "le concasseur", disait-on péjorativement pour la nommer, malgré qu'elle fournissait du travail à une trentaine d'ouvriers, que c'était la dernière industrie sur le territoire de la commune, a toujours eu mauvaise réputation. "Le concasseur" était bruyant, malgré qu'il ait été réinstallé dans la carrière elle-même (après un glissement de terrain en 1995), les tirs de mine hebdomadaires faisaient trembler et lézardaient les maisons avoisinantes. Les merlons, de plus en plus haut, défiguraient (et défigurent encore) le paysage. On craint qu'ils ne dégagent à l'avenir des eaux sulfatées acides. Fin décembre 2001, les digues du bassin de décantation ont montré quelques signes de faiblesse suite à de fortes pluies, et les jardins et maisons de quelques riverains ont été inondés. Enfin, elle a été victime d'un vol de dynamite le 19 novembre 2001. Les explosifs n'ont jamais été retrouvés, malgré un appel à témoin (cfr news.php ).

Des anciennes carrières, il ne reste plus grand'chose.


Les anciens bureaux, encore utilisés par Nocarcentre, seront sans doute abattus.

Les carrières Blondeau et du Parc ont été comblées par les stériles de la nouvelle carrière.
On peut encore voir quelques murs de la carrière Riez dans les étages supérieurs de la nouvelle carrière, côté Nord.
L'eau continuera à envahir la nouvelle carrière jusqu'à ce que l'équilibre avec les sources souterraines et la nappe phréatique soit réalisé.
C'est le sort de toutes les carrières de la région qui n'ont pas été comblées pas des ordures ( Trou Barrette, carrière du Levant, carrière de Scoufflény, trou Rivière, Carrière Goffart,… ).

En août 2005, il ne restera plus rien de Nocarcentre.

La géologie

La zone fait partie du synclinal du Brabant; elle est située au Nord de la faille du Midi.

L'exploitation est surmontée d'une épaisseur variable d'argile yprésienne.

D'après l'ancienne carte géologique de Belgique , les couches inférieures, exploitées déjà à l'époque de Restaumont, sont de l'étage Tournaisien (Assise des Ecaussines et de Waulsort, T2b : calcaire à crinoïdes et à débris de Paléchinides, sans cherts, à Spirifer konincki (Sp.cinctus) ; petit granit de l'Ourthe et des Ecaussines) . Elles sont visibles dans le Nord de la carrière.

Les couches supérieures, exploitées dans le sud de la carrière seraient de l'étage Viséen (Assise de Dinant, V1a : calcaire noir schistoïde avec schistes, cherts noirs). La pierre y est moins homogène. On y trouve de plus un grand nombre de nodules de chert, une roche siliceuse, plus dure, rendant la pierre impropre au polissage.

Dans une autre nomenclature, les bancs de pierre exploités au Sud, appartiendraient au niveau Tn3c, calcaire argileux (cherts au sommet) et Petit Granit en zone inférieure, de l'Assise de Celles (Tn3) du Tournaisien supérieur.

Dans la nouvelle carte géologique de Wallonie, les couches sont indiquées comme étant du Carbonifère inférieur, Série Tournaisien, Etage Ivorien.

Les couches inférieures sont de la Formation des Ecaussinnes (ECA) ou Encrinite des Ecaussinnes, Membre de Soignies (SOI) – Petit Granit (calcaire compact, très crinoïdique (encrinite) de teinte naturelle gris-bleu et assez sombre. Outre les crinoïdes, la faune est riche et variée, constituée surtout de brachiopodes et de polypiers. Le petit Granit se présente en bancs épais de 0.7 à 2 m et constitue une pierre de construction très réputée.)

Les couches supérieures sont de la Formation de Mâlon-Fontaine (MAF), Membre de Thiarmont (THI) (calcaire argileux, assez fin, gris bleuté, sombre, très peu fossilifère. Les cherts y sont pratiquement absents. Ce calcaire se présente en bancs réguliers, peu épais ( 20 à 40 cm). Les bancs sont délimités par de minces lits calcschisteux, voire franchement argileux. Le calcaire des bancs eux-mêmes se débite facilement en plaquettes. Ce membre correspond aux "raches sans cherts" des carriers.

En résumé, aux 3 premiers étages de la carrière, on exploite les « raches ». cette zone est très souvent karstifiée avec des poches de dissolution remplies d'argiles noires. Le calcaire exploité contient un peu d'argiles, éliminées par lavage et un peu de pyrite. Les zones karstifiées sont jetées au terril qui borde la carrière à l'Est. C'est le niveau I décrit par E. Denys. Cette couche servait à faire dans le passé de la chaux et des moellons.

Les étages inférieurs exploitent :

- Le niveau II d'environ 7 m qui comprend 14 bancs peu épais et de médiocre qualité ("mauvais tenne" , "se refend").
- Vient ensuite ce qu'on appelle , le "délit à la terre bleue" souvent appelé simplement "délit à la terre" : un lit schisteux de 20 cm souvent ramené à l'état d'argile. Il constituait le toit du gisement de bonne pierre.
- Le niveau III d'environ 28 m avec 18 bancs d'épaisseur variable entre 35 cm et 5m ("gros banc"). C'est le Petit Granit véritable donnant des matériaux de premier choix pour les constructions de luxe.
- Enfin le niveau IV qui comprend encore des bancs importants mais d'inégale qualité,

classification sans importance pour Nocarcentre puisque tout est concassé !

Une coupe de l'ancienne carrière donne une idée des différentes couches de Petit Granit. Les bancs sont inclinés régulièrement de 17cm par mètre (pendage de 10°) vers le Sud-Sud-Ouest.

La minéralogie

La roche exploitée est donc du calcaire dans lequel on trouve parfois des cherts siliceux. La teneur en CaCO3 est le plus souvent comprise entre 93 et 98 %.
Dans les bancs, des cassures verticales ( diaclases ) sont comblées par les terrains superposés.
D'autres , les "limés", les lignes en patois local, sont remplis de calcite pure compacte ne sont pas rares et parfois fragilisent la pierre si elles sont trop épaisses.
D'autres défauts de la pierre encore sont les "fontinnes", géodes, parfois remplies d'eau, d'où leur nom, couvertes généralement de calcite blanche, parfois de plaques mauves de fluorine.
On y trouve également des cristaux de calcite dans les configurations les plus fréquentes (rhomboèdres, et surtout scalénoèdres, dent de chien ou de cochon, rarement en macle). Les calcites sont parfois colorées en jaune , vert ou brun par des impuretés.

Les autres minéraux les plus fréquemment trouvés sont :
la fluorite, généralement violette, en croûte, associée avec la calcite mais très rarement en cristaux bien isolés,
la pyrite en petits cristaux millimétriques individualisés ou en croûte.

Autres minéraux plus rares :
- marcasite
- aragonite
- soufre en masse cristallisée compacte
- hématite, limonite
- barite
- sphalérite

La paléontologie

Les étages Viséen sont pauvres en fossiles.

Les étages Tournaisien par contre renferment de grandes quantités d'articles d'encrines ou entroques fossilisés en calcite. Ce sont eux qui donnent un aspect scintillant comme les grains de feldspath, de micas et de quartz du véritable granite, d'où sans doute le nom de "petit granit".

Les principaux fossiles se trouvent surtout dans le "bousin", pierre en décalcification.

On trouve principalement :
•  Syringopora, un corail tabulé, appelé familièrement "brins de souris"
•  Michelinia favosa, un autre corail, appelé familièrement "nid de guêpes"
•  Caninia cornucopiae , polypier solitaire,
•  Spirifer konincki, brachiopodes parfois pyritisés, ("scarbotes" dans le patois local)
•  Productus, autre brachiopode
•  Serpula
•  Asteractinella, une éponge en forme d'étoile appelée "pas de loup"
•  Siphonophyllia cylindrical
•  Fenestella membranacea

Les plus chanceux pourront trouver :

•  Helodus turgidus (dent de requin)
•  trilobites

L'avenir


vue panoramique du 8/5/2005

Une station d'épuration d'eau était en construction au Sud-Est de la carrière. Elle sera terminée en 2007. Ce centre de traitement et de production d'eau, avec celui de Neufvilles, devra recueillir les eaux d'exhaure des carrières de Nocarcentre, d'une éventuelle carrière au lieu dit "Tellier des prés" , des carrières du Hainaut et du Clypot . Une conduite de liaison entre ces centres permettra de réaliser les appoints continus nécessaires. Au total, près de 13.000.000 de m³ d'eau d'exhaure par an devraient ainsi être revalorisés pour alimenter d'une part le zoning industriel de Feluy dont les besoins en eau ne font qu'augmenter et d'autre part le réseau de distribution de la SWDE.

Enfin, les sociétés SAGREX et les carrières de la Pierre Bleue Belge SA ( Carrières du Clypot et Carrières Gauthier-Wincqz ) se sont associées et continuent les formalités administratives lourdes et longues, mais en bonne voie, pour ouvrir une nouvelle carrière au lieu dit "Tellier des prés" (coordonnées 50°33'45.1"N 4°07'23.3"E), sur un terrain de 167 ha, dans le même gisement que celui des carrières de Soignies et d'Ecaussinnes, et ce, sur les communes de Soignies, Braine le Comte et Ecaussinnes. La nouvelle carrière exploitera le gisement pour produire des pierres ornementales et du gravier. Son creusement ne commencera sans doute qu'en 2006 et promet d'être intéressant. Le ruisseau de Quenast sera détourné. Les terres arasées et les stériles ne seront plus entassées en merlons comme à Nocarcentre et comme on peut le voir dans le paysage d'Ecaussinnes pour les anciennes exploitations (les "tiennes", actuellement boisées), mais elles seront pompées sous forme de boue sur quelques kilomètres, vers la carrière de Perlonjour (coordonnées 50°34'04.3"N 4°05'55.8"E), actuellement inexploitée et ennoyée. Cette dernière sera transformée en réserve naturelle et ses abords seront rendus à l'exploitation agricole. Les ateliers de sciage et de marbreries seront installés au Nord de la carrière près de la RN57, contrairement aux anciennes exploitations qui utilisaient des ponts roulants de levage. Pour plus de détails, voir le site de présentation du projet .


vue aérienne de Nocarcente (sept 2003). Au loin Soignies et la carrière ennoyée de Perlonjour. Entre les deux, le hameau de "Tellier des prés".

Marc JAUNIAUX

Références

0. http://www.cmpb.net/fr/ecaussinnes.php
1. Guides géologiques régionaux - Ardenne Luxembourg - Waterlot et all. - Masson - Itinéraire n° 10.
2. Guides géologiques régionaux - Belgique - Robaszynski et all. - Masson - Itinéraire n° 14.
3. Carte géologique de Belgique n°128 1/40000ème 1893.
4. Cartes topographiques de Belgique n°39/5-6 1/25000 de l'IGN 1954 et 1983.
5. Historique des carrières d'Ecaussinnes - L. Baguet - Annales du cercle archéologique du canton de Soignies - Tome XXXI - 1985.
6. Pierres et marbres de Wallonie - Ministère de la région wallonne - 1990.
7. Pierre bleue de Soignies, pierre toujours vivante - Centre de documentation de la Pierre Bleue - Soignies 1992
8. Historique des carrières des Ecaussinnes - A. Blase - Journal "La Sennette" 1947
9. Le travail de la pierre dans les carrières d'Ecaussines - Abbé Puissant - Vromant 1924
10. L'origine et l'évolution de l'expression "petit-granit", Eric Groessens, Bulletin de la Société belge de géologie, T102, pp271-276
11. Carte géologique de Wallonie 39/5-6 1/25000 ème 2002
12. Notes diverses de mon père André JAUNIAUX – 1968
13. Carte des Ecaussinnes , Edouard Jauniaux,secrétaire communal - ~1935
14. Carte topographique de Belgique n°39/5-6 1/20000 de l'IGN 2000 (avec quelques noms de lieu orthographiés de façon fantaisiste)
15. Carte topographique de Belgique n°39/5-6 1/15000 de l'IGN 1954.
16. Cartes topographiques de Belgique n°39/5 et 6 1/20000 de l'IGN 1936.
17. Origine et exploitation de la pierre d'Ecaussinnes – M. Mary & R. Brodeaux. – Recueil n°13 du Cercle d'Information et d'Histoire Locale des Ecaussinnes et Henripont (CIHL).
18. Promenade géologique d'Ecaussinnes à Fauquez, Marc Jauniaux, Lithorama N°7, septembre 2003.
19. Notes de M. Ryié, directeur d'écoles à Ecaussinnes.
20. Commentaires de l'Abbé Joux, conservateur du musée d'histoire locale.
21. Commentaires de Renée et Edouard Gondry
22. Communiqué du Gouvernement wallon du 19.02.2004 sur la Zone d'extraction "Tellier des Prés"
23. Interview de Mademoiselle Michèle Gypens, "Administrateur-délégué" de la SACSR en 2004.
24. http://www.cmpb.net/fr/tellierdespres.php
25. http://www.tellierdespres.be


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